Vendredi 15 décembre 2017, une cérémonie de « brevêtation » s’est déroulée à Vitznau au cœur de la Suisse. À cette occasion, le capitaine Arnaud a été breveté pilote de chasse sur Pilatus PC-21. Présidée par Markus Thöni, commandant de l’école de pilotage des forces aériennes suisses, la cérémonie s’est déroulée en présence d’autorités civiles et militaires suisses et françaises dans un cadre somptueux, sur les bords du lac des Quatre Cantons à Vitzanu. Neuf élèves ont reçu leur insigne de pilote. Cinq d’entre eux poursuivront leur carrière sur hélicoptère Super Puma et quatre, dont un Français, sur avion de chasse. Le capitaine Arnaud, 27 ans, a reçu son brevet de pilote des mains du colonel Alexis Merdaci, attaché de défense auprès de l’ambassade de France en Suisse, sous les yeux de ses proches et instructeurs militaires venus pour l’occasion. «Cette cérémonie est un aboutissement. Ancien élève de l’école des pupilles de l’air, j’attends ce moment depuis maintenant presque dix ans, précise l’aviateur. C’est en 2015, après son orientation dans la spécialité chasse, pendant sa formation sur la base aérienne de Cognac, qu’Arnaud a été sélectionné pour participer à ce programme de formation. Durant deux ans, il a été formé à l’école de pilotage des forces aériennes suisses sur la base aérienne d’Emmen, dans la région de Lucerne. Une formation en deux temps : une première phase, d’une durée de dix mois, sur l’avion d’entraînement Pilatus PC-7 ; une seconde à bord du Pilatus PC-21. Le capitaine Arnaud compte aujourd’hui 220 heures de vol sur Pilatus PC-7 et 280 heures sur Pilatus PC-21 à son actif. Cet échange franco-suisse intervient dans le cadre d’une coopération bilatérale entre les deux pays. C’est la seconde fois qu’un pilote français est formé dans les forces suisses. En 2013 déjà, le capitaine Vincent avait participé pour la première fois au programme d’échange. 82 postes de pilotes sont à pourvoir en 2018 ! Entrée possible avec un BAC, de tout type.
Outre le fait que, 75% du temps, on sera servi avant les autres, les places de devant permettent de mieux manger. C’est que l’air y est plus humide qu’à l’arrière et les bourdonnements moins importants. Les sens gustatifs s’en trouveront plutôt préservés. C’est au niveau des ailes que les turbulences sont les moins fortes en avion, pour des raisons évidentes de portance. Si vous avez une petite tendance à être malade, le plus malin est donc de se caler au milieu et d’éviter tête et queue d’avion. Le problème de ce conseil, c’est que vous n’êtes pas les seuls à l’avoir compris. Les compagnies aériennes tendent aujourd’hui à surfacturer ces sièges où personne ne s’allonge sur vous et où vous n’avez pas le sentiment d’être enfermé dans une boîte de conserve. Enfin on est quand même beaucoup mieux qu’ailleurs. On ne peut pas allonger le siège, mais vos voisins de devant ne se priveront pas, eux, de s’allonger. La plupart des avions ne sont pas pleins. Si l’on entre dans la carlingue en fin d’embarquement, on peut facilement repérer les places sans personne à côté et s’y installer confortablement. Il est également possible de le faire en ligne en réservant tardivement. Sinon, demander au personnel de la compagnie de vous installer à un siège seul devrait vous permettre d’obtenir satisfaction. Les sièges entre la business et l’éco offrent plus de place aux passagers. En revanche, il faudra se taper le défilé vers les toilettes et la cuisine. Si vous entrez en dernier dans l’avion et que, traversant la business, vous voyez une place libre, vous pouvez la demander. L’hôtesse n’aura aucune raison de vous la refuser et vous gagnerez votre surclassement gratuitement.
Ryanair : Fondée en 1985, la compagnie Low Cost irlandaise Ryanair opère de nombreux vols depuis et vers la France. Ryanair est ainsi présente dans de nombreux aéroports français (généralement de taille moyenne), proposant un nombre important destinations à travers toute l’Europe. Vueling : Compagnie aérienne Low Cost espagnole fondée en 2004, Vueling est présente au départ de 12 aéroports français, elle assure majoritairement des vols entre la France et l’Espagne, et plus particulièrement vers Barcelone. À noter également, Vueling assure le vol Rennes Bastia. Transavia : Transavia, ou Transavia Airlines, est la compagnie low cost du groupe Air France – KLM. Sa base française est située à l’aéroport d’Orly, mais vous pouvez aussi partir en voyage en avion avec Transavia depuis Lyon, Nantes et Strasbourg et vers les principales destinations européennes, et notamment méditerranéennes. 2013 par Air France, la compagnie est surtout présente sur les vols nationaux courts. Forte d’une flotte d’une centaine d’appareils, HOP ! Ses bases sont les aéroports de Paris – Orly et de Lyon-Saint-Exupéry.
Alors que l’offre française de partenariat stratégique revient dans la compétition pour remplacer les F-16 belges, le PDG de Dassault Aviation a accordé un entretien à quelques journalistes belges. Eric Trappier est longuement revenu sur les raisons qui ont poussé la France a faire une proposition en dehors de la procédure de marché officielle lancée par la Belgique. A l’aéroport du Bourget en région parisienne, le PDG de Dassault Aviation, constructeur du Rafale, a défendu une offre positive de la part de la France. Eric Trappier rejette donc l’analyse selon laquelle la France a souhaité contourner l’appel d’offre pour mieux concurrencer le F35 américain présenté comme le favori pour remplacer les F-16 belges. Je suis comme Trump à l’envers. L’Europe pour les Européens! A plusieurs reprises au cours de l’entretien, le patron de Dassault Aviation a évoqué l’importance que revêt le choix des équipements militaires à ses yeux dans le projet européen. Eric Trappier regrette que certains pays européens fassent systématiquement le choix américain et il attise la fibre européenne de la Belgique pour plaider la cause du Rafale. Selon lui, le marché belge est à ce titre symbolique. Vendredi dernier, Charles Michel a laissé entendre que l’offre française serait bien examinée par la Belgique. Jusqu’à présent, la proposition de partenariat stratégique de la France n’a pas été analysée par le gouvernement fédéral. Le ministre de la Défense, Steven Vandeput a toujours privilégié les offres rendues en bonne et due forme selon le cahier des charges prévu par le gouvernement. A l’heure actuelle, l’offre française de plus de 3000 pages n’est toujours pas entre les mains du gouvernement fédéral. D’après le cabinet de Steven Vandeput, des contacts ont été entrepris cette semaine pour obtenir la version complète cette offre.
Toutefois les plus grandes compagnies aériennes, telles qu’Air France, Lufthansa, British Airways, etc. Boeing et des Airbus qui ont des gammes similaires. Dans le même esprit de concurrence, la plupart des avions de ligne proposent depuis l’Airbus A300 de 1974 un choix dans la motorisation. En général, ce sont toujours des réacteurs General Electric, Pratt & Whitney, Rolls-Royce ou CFM. Le succès d’Airbus est dans un premier temps venu de ces différents choix stratégiques appréciés par les compagnies aériennes. Après la Seconde Guerre mondiale, les compagnies aériennes ont largement exploité des Douglas DC-3 militaires reconvertis, dont la production a dépassé les 10 000 exemplaires pendant la guerre. Les Douglas DC-4 puis DC-6 d’une part, les Lockheed Constellation et Super Constellation propulsés par quatre moteurs à pistons d’autre part, ont permis l’ouverture de lignes transcontinentales puis transatlantiques avec escales. Ils restent associés à l’image d’un transport aérien de luxe, réservé à une élite, vol l39 et qui fonctionne en concurrence avec les lignes maritimes transatlantiques. Le Boeing 707, quadriréacteur pouvant emporter jusqu’à 180 passagers sur plus de 6 000 km, n’est pas le premier avion de ligne à réaction, mais c’est le premier à connaître le succès commercial.